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mai 2019

A White Space Odyssey

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Artists: Gao Lei, Gao Ludi, He Xiangyu, Jingfang Hao & Lingjie Wang, Ce Jian, Christine Sun Kim, Li Liao, Li Shurui, Liu Shiyuan, Liu Wentao, Liu Xinyi, Qin Jun, Shi Zhiying, Tan Tian, Tong Wenmin, Ignacio Uriarte, Wang Qiang, Wang Haiyang, Wang Tuo, Xie Fan, Yang Jian, Zhai Liang, Zhang Zipiao

Curator: Shen Chen

« As you set out for Ithaka, hope your road is a long one, full of adventure, full of discovery. »

In 1911, the Greek novelist Constantine Cavafy wrote these verses to a poem entitled, Ithaka. It expressed the writer’s nostalgia for his hometown and lament for long life. Being an exile in many ways, he distanced his writing from current literary trends. Instead, he created an independent spiritual world for his poetry. The island Cavafy mentioned in the poem is hero Odysseus’ hometown, portrayed in Homer’s 24-chapter epic, The Odyssey. In this epic, Odysseus, whose name means « way of mind » in ancient Greek, traveled for ten years on the sea to return to Ithaka.

As of now, dispersion has the attributes of many new and complex meanings. Particularly in the political and economic context of globalization, in a world decentralized yet connected through the Internet, to disperse may be construed as taking a proactive journey or making a self-driven choice. As in the case of 2001: A Space Odyssey, modeled on the classical literature of The Odyssey, in which a journey trapped on the sea is transformed into an active exploration to the enigmatic universe. In a world like the one we live in, the locations of birth, studies, work, and life for these 24 artists at White Space Beijing have also been shifting constantly on this long journey. However, we are more interested in the happiness, joy, confusion, obstacles, and the life they have inadvertently encountered, as well as how these experiences would pivotally impact their spiritual world and art practices?

A White Space Odyssey aims to present a « midway exposure » for the 24 artists’ journeys at White Space Beijing. By selecting these « cue-dependent » works of art that are transversal in their practice, we are given the opportunity to go back to the spiritual homeland of their respective artistic subjects. These « cue-dependent » works are not necessarily the most familiar pieces in their practices, however, to a certain degree, each exemplifies or embodies the artist’s personalized experiments and explorations with regards to subject matter, concept, and approach. With regards to the temporal component of this selection, some artists choose to exhibit their early works in order to address the approach they have taken that had a tremendous impact in their practice thereafter; others present the more recent works that exhibit the artists’ current and important transitions, as they may offer a response to their earlier practice. In terms of the spiritual component of the artworks, some embarked on introspective journeys that uncover the meanings of their internal experiences; others are proactively relating to the outside world and try to provide responses to the agitated realities – in spite in most cases, the two are intimately intertwined. These choices are made on the basis of the artists’ current work and their state of being, which aim to showcase their continuous critical thinking and commitment to art practice.

This exhibition is not interested in articulating a general experience. Instead, it hopes the viewer would engage with the practice of each individual artist by look into the long way they have come, tracing back their individual will, thinking, judgment and value choices. With the diversity and complexity of these individual lives, we hope to weave a radiant constellation and the possibility towards a future paradise.

avr 2019

Lauréat Talents Contemporains, Fondation François Schneider

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L’appel à candidatures de la 8ème édition avait lieu du 1er septembre au 1er novembre 2018. Les noms des 47 finalistes du concours choisis par 4 Comités d’Experts ont été annoncés en février 2019 et un livret avec les 47 oeuvres pré-sélectionnées vient d’être publié.

La sélection finale aura lieu le 4 avril 2019 lors de la réunion du grand jury qui se déroulera à Wattwiller.
Le choix des lauréats sera annoncé le 5 avril à 11 h à la Fondation François Schneider par Jean-Noël Jeanneney, président du grand jury.

Le grand jury 2019 présidé par Jean-Noël Jeanneney, est composé de personnalités reconnues du monde des arts :
Felizitas Diering (Directrice du FRAC Alsace)
Alfred Pacquement (Conservateur du Patrimoine, France)
Ernest Pignon Ernest (artiste, France)
Fabrizio Plessi (artiste, Italie)
Roland Wetzel (Directeur du Musée Tinguely, Suisse)

Réuni à Wattwiller le 4 avril, le grand jury a choisi 7 artistes de 4 nationalités comme lauréats de la 8ème édition du concours.
> Rachael Louise Bailey (Royaume-Uni) Global, 2018. Sculpture, 3m de diamètre.
> Guillaume Barth (France) Le deuxième Monde, Elina, 2015. Vidéo, 4mn41.
> Olivier Crouzel (France) 18 rideaux, 2015. installation, 11 520 x 3 240 cm.
> Hao Jingfang & Wang Lingjie (Chine - France) Over the rainbow, 2016. Installation, dimensions variables.
> Eva Nielsen (France) Zode IV, 2018. Peinture, 200 x 180 cm.
> Capucine Vandebrouck (France) Puddle, 2017. Installation, dimensions variables.
> Wiktoria Wojciechowska (Pologne – France) Short Flashes, 2013. Photographie, 80 x 768 cm.

Les oeuvres des lauréats seront présentées dans une exposition collective au centre d’art de la Fondation et intègreront sa collection. Au fil des années, un ensemble unique d’une quarantaine de pièces s’est ainsi constitué par l’acquisition des oeuvres des lauréats – dessins, peintures, sculptures, vidéos, photos ou installations – illustrant la thématique de l’eau sous différents angles (scientifique, politique, écologique, philosophique etc) et témoignant de la diversité des pratiques artistiques du XXIème siècle.

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avr 2019

COSMOS: 2019

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Cosmos : 2019
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Commissariat : Valérie Perrin
Du 13 avril au 20 juillet 2019

À l’ère des nouvelles technologies, de l’exploration de Mars, comment les artistes contemporains regardent-ils, s’approprient-ils, interrogent-ils le cosmos ? le développement et l’accessibilité de certaines données ont-ils initié de nouvelles pratiques artistiques, de nouveaux fantasmes, de nouvelles rencontres « extraterrestres » ? Ce sont ces questions que l’exposition Cosmos : 2019 souhaite poser.
Avec : Susan Hiller, Cécile Beau, Venzha Christ, Guillaume Bertrand, les Éditions à Mort, David Guez, Jingfang Hao & Lingjie Wang, Esther Hunziker, Marie Lienhard, Silvi Simon, RYBN.ORG…

L’Espace, pendant les années soixante, au moment de la guerre froide, fut un enjeu de prestige national, de rivalité et de pouvoir entre les États-Unis et l’URSS. Ces derniers ayant fait voyager le premier homme dans l’Espace (1961), en réaction les États-Unis, décidèrent, eux, d’envoyer le premier homme sur la Lune.
Ainsi le 20 juillet 1969 l’homme faisait son premier pas sur la lune avec la mission Apollo XI. L’événement que le NASA voulait historique et auréolé d’une dimension mondiale, fut retransmis en direct par satellite, à la télévision et à la radio, touchant plus de 500 millions de personnes sur la Planète Bleue. Véritable événement de l’histoire des médias, ces images vont définitivement ouvrir un fertile imaginaire du voyage dans l’espace, confirmant l’intuition esthétique du film 2001 L’Odyssée de l’Espace de Stanley Kubrick, sorti un an plus tôt. Quand la fiction anticipe la réalité…
Cinquante ans plus tard, l’Espace est devenu moins une conquête nationale, qu’une exigeante recherche scientifique, un développement technologique aux collaborations internationales, à l’instar de la Station spatiale internationale. Leurs images envahissent Internet et sont accessibles à tous.
A l’ère des nouvelles technologies, de l’exploration de Mars, comment les artistes contemporains regardent-ils, s’approprient-ils, interrogent-ils le cosmos ? Le développement et l’accessibilité de certaines données ont-ils initié de nouvelles pratiques artistiques, de nouveaux fantasmes, de nouvelles rencontres « extra-terrestres » ? Ce sont ces questions que pose l’exposition Cosmos : 2019.
Vers une autre conquête spatiale ?
Cosmos : 2019 est introduite par deux codes : celui, binaire, de la photo du premier pas sur la lune, gravé sur une stèle (projet de David Guez), conservant ainsi pour l’éternité cette image iconique. Celui, ensuite, du logiciel de navigation destiné au programme Apollo XI et créé par Margaret Hamilton (installation de Guillaume Bertrand), pour rendre hommage à cette femme restée méconnue pendant quarante-sept ans et grâce à laquelle, les hommes ont pu marcher sur la Lune.
Les œuvres présentées dans l’exposition proposent aussi une autre vision du voyage dans l’Espace. Au sens propre en faisant l’expérience de l’envol avec l’œuvre Logics of Gold de Marie Lienhard, mais aussi en découvrant les galaxies poétiques et fictives de Cécile Beau ou encore à travers les oeuvres de Jinfang Hao et Lingjie Wang et de Ester Hunziker et Silvi Simon, parfois imprimées de traces solaires et martienne.
Cosmos : 2019 propose également de rencontrer ceux qui ont observé dans le ciel des objets volants non identifiés à travers l’installation de Susan Hiller et le livre pop up des Éditions à Mort qui donne la parole aux ufologues. Et de se demander avec les recherches de Venzha Christ et RYBN. ORG si le cosmos ne serait pas maintenant un nouveau territoire d’intervention, d’investigation pour les artistes ?
Vernissage le samedi 13 avril à 17h à l’Espace multimédia Gantner, en présence des artistes.

fév 2019

COCOSMO

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Les recherches de Jingfang Hao et Lingjie Wang sont le fruit d’une « exaltante alliance des contraires ».

Leurs oeuvres puisent aux racines de la culture chinoise et sont nourries de références à l’histoire de l’art occidentale. A la fois
conceptuelles et sensuelles, objet et processus.

Cette bipolarité, que l’on retrouve dans le taoïsme mystique originel sous la forme du Yin et du Yang, est davantage une façon d’être au monde qu’un système.

Chacune de leurs oeuvres repose sur un dialogue entre une conception cartésienne et mathématique, héritée de leur formation d’ingénieurs et d’un intérêt pour l’art conceptuel occidental, et une vision sensuelle et poétique du monde et de la nature liée à leur culture chinoise et à leur connaissance de la matière qui compose les objets qui nous entourent.

déc 2018

Rolling Snowball

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At 3:00 afternoon,on December 15, 2018.“Rolling Snowball·Nanjing”will be opened at AMNUA.This exhibition is led by Li Xiaoshan as the art director.Ineke Gudmundsson as the academic adviser and Chen Rui,Li Meilan are appointed as the curators.This exhibition will focus on the art works of 52 Chinese and foreign artists, including sketches,paintings,oil paintings,photography,installations,sculptures,performance,images and some comprehensive mediums.

Since 2010, “Rolling Snowball”project has been initiated by the China European Art Center and has been held for eleventh. The Rolling Snowball event brings together Chinese and foreign artists from different part of the world, whose fields span a wide range of media. This cultural exchange and cooperation has greatly enriched the culture, ideas and concepts of artists from all over the world, and helped them to refine their artistic views and redefine their relationship with the arts. This cross-cultural exchange is part of its thinking and is of great benefit to their work and connections at home and abroad.

International exchange is a nutrient for art itself. Art flows in every corner of the world. Cultural exchange can also be considered an art of perspectives. In the long history of intercultural relations, preconceptions and old narratives were tested, revised and adjusted through both dialogues and conflicts. In the best scenarios, we learn from one another and seek commonality despite differences, leading to deeper mutual understanding and greater mutual respect. The culture of the « other » is also like a mirror, reflecting our own cultural texture, so that we can look at ourselves more objectively through the perspective of the other. A richer perspective brings a broader perspective, and it allows us to become more aware of our own foothold in the broader world.

This winter, Let’s Rolling the Snowball in Nanjing!

août 2018

Minimal Light

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La galerie Danysz – Shanghai présente cet automne une exposition collective réunissant quatre artistes chinois contemporains. Le titre de cette exposition collective – Minimal Light – est inspiré d’une poésie du légendaire poète et chanteur canadien Leonard Cohen « Anthem », dans laquelle il écrit: « il y a une fissure, une fissure dans tout, comment la lumière entre. » La fissure permettant la lumière est généralement très petite, mais elle représente un espoir de survie. Ainsi dans l’exposition la lumière devient une sorte de conscience spirituelle.

Danysz gallery – Shanghai presents a group show of four contemporary Chinese artists this autumn. The title of this group show – Minimal Light, is inspired by a poetry of the legendary Canadian poet and singer Leonard Cohen “Anthem”. In this poetry, he writes: “there is a crack, a crack in everything, that’s how the light gets in.” Light from the crack is usually very small, but it represents a glean hope of survival. In this case, light becomes a kind of spiritual awareness.

In Minimal Light, you can discover Hao Jingfang & Wang Lingjie’s newest creations which come from the on-going project “Rainbow”. They have created several shapes of lakes facing of the danger of drying up. In this installation, light is brought in where refraction and reflection of the microspheres composes a rainbow for the viewers from different perspectives.

Minimal Light also presents several conceptual artworks by Song Xi. His video “Ode to Joy” recorded his performance. In the darkness, he patted the flies with electric flapper. Sparks are produced, and they are as beautiful and brilliant as fireworks. This light reminds us of a collection of poems Fireflies by Rabindranath Tagore. He once said: “You tiny, but you do not small.” Firefly is a small insect with weak light. However, once gathering lots of fireflies, they shine for the world to see.

Another key word of this group show is “minimal” which can be interpreted by Ma Lihua’s paintings. In his creation, the underlying language of white and sand is combined, through the interspersed handwriting, to combine a deep sense of space, forming a rhythm and feeling. Ma Lihua expresses the true spiritual world by means of an appropriate abstract image.

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